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mercredi 5 novembre 2008

STOP


L'homosexualité dans le monde arabe :

La communauté homosexuelle dans les pays du monde arabe est une des minorités les plus opprimées. Les relations homosexuelles sont simplement interdites dans les pays qui appliquent la loi islamique. Ces pays ont développé un arsenal législatif à l'encontre des homosexuels, dont voici la démonstration. Certains Etats islamistes renforcent cette interdiction par la peine de mort : Iran, Mauritanie, Arabie saoudite, Soudan, Yémen. Selon les interprétations de la Charia, les punitions envisagées pour les individus qui se rendent coupables de telles pratiques varient précisément selon les cas : pour un homme adulte : la mort, pour un mineur : 74 coups de fouet et pour une femme : 100 coups de fouet (au bout de trois récidives, la mort). En Malaisie, la peine maximale est 20 ans d'emprisonnement . Dans les Emirats Arabe Unis, la peine est de 14 ans d'emprisonnement . Au Bahrayn, une peine peut aller jusqu'à 10 ans au, assortie ou non de châtiments corporels. Le Bangladesh et la Libye : 5 à 7 ans. Au Liban, les cours pénales continuent de juger des homosexuels en vertu de l'article 534 du code pénal de 1943 qui condamne "tout contact physique et union contre nature" à des peines jusqu'à un an d'emprisonnement. En Irak, la législation est encore plus stricte, des peines de prisons peuvent être prononcées. Le Pakistan punit de deux ans d'emprisonnement plus des coups de fouet. Au final, notre « communauté homosexuelle » occidentale, on recherche le droit de vivre fièrement, normalement et porter les derniers vêtements à la mode tandis qu'en Orient des personnes demandent juste le droit de vivre.

un Noir à la tête du Monde... révolution


"Qui aurait cru qu'un Noir d'une quarantaine d'années, nommé Barack Obama, deviendrait un jour le candidat du parti démocrate?", demandait-il cet été après avoir triomphé de sa rivale Hillary Clinton au terme d'une élection primaire âprement disputée. Il a mené sa campagne au nom de "l'unité" des Américains et pour restaurer "le rêve américain", brisé selon lui. "J'ai choisi de me présenter aux élections présidentielles à ce moment de l'Histoire parce que je crois profondément que nous ne pourrons résoudre les problèmes de notre temps que si nous le faisons ensemble", a-t-il expliqué.
Elu en 1997 du quartier le plus déshérité de Chicago, il s'est battu pour garantir des soins aux plus pauvres et pour ouvrir davantage d'écoles. Mais il n'a pas non plus de complaisance à l'égard de sa communauté. Durant la campagne, il conseillait ainsi aux parents "d'arrêter la télévision et d'éradiquer cette stupidité consistant à dire qu'un jeune Noir avec un livre se comporte comme un Blanc".
Après un échec à la Chambre des représentants en 2000, Obama est élu sénateur des Etats-Unis en novembre 2004, devenant l'unique Noir du Sénat. Son successeur au Sénat, probablement un démocrate, doit être désigné par le gouverneur démocrate de l'Illinois.
Le président élu, qui prendra ses fonctions le 20 janvier à midi, a promis de baisser les impôts de 95% des salariés américains, de faire revenir les soldats d'Irak "de façon responsable" et d'inclure des républicains à son gouvernement.

dimanche 2 novembre 2008

mardi 14 octobre 2008

Homophobie : la justice punit les agresseurs

Si les homosexuels sont mieux reconnus aujourd'hui par la société, ils sont encore souventvictimes d'insultes ou d'agressions plus ou moins graves en raison de leur orientation sexuelle. La justice française retient depuis 2003 l'homophobie comme motif aggravant pour punir de tels actes, au même titre que le racisme.


Le droit français punit les actes et les injures à caratère homophobe © Getty
Dans son rapport 2008, l'association SOS Homophobie a recensé 1 263 témoignages de manifestations d'hostilités envers des personnes homosexuelles. 132 agressions physiques lui ont été signalées (21 de moins qu'en 2006). Ces actes ont eu lieu principalement dans quatre départements : Paris, le Rhône, le Nord et la Moselle.
Les actes homophobes peuvent prendre plusieurs formes : insultes, gestes déplacés, harcèlement, violences physiques et vont parfois jusqu'au meurtre. Dans son enquête sur l'homophobie dans l'entreprise, la Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité (Halde) relève que 85 % des gays et des lesbiennes estiment avoir déjà ressenti une homophobie "implicite" sur leur lieu de travail.

Depuis 2002, 14 hommes ont perdu la vie en raison de leur homosexualité. Près de la moitié avaient plus de 60 ans. Plusieurs affaires d'agressions homophobes ont été médiatisées ces dernières années comme le meurtre de François Chenu à Reims en 2002 ou encore l'agression de Bruno Weil, en région parisienne pendant l'été 2006. Afin de lutter contre l'homophobie, le 17 mai a été déclaré Journée mondiale de lutte contre l'homophobie en France en 2004.

Depuis le début des années 2000, plusieurs lois protègent les personnes homosexuelles. La loi de modernisation sociale, votée en 2002, interdit officiellement toute discrimination à l'embauche et dans le monde du travail basée sur le rejet des homosexuels. La loi du 18 mars 2003 introduit l'homophobie dans le Code pénal comme circonstance aggravante d'un crime ou d'un délit : "constitue une discrimination toute distinction opérée entre personnes (…) à raison de leur sexe, de leurs mœurs, de leur orientation sexuelle". C'est d'ailleurs sur ce même argument que la France a été condamnée, en janvier 2008, par la Cour européenne de Justice, pour avoir refusé l'adoption à une femme homosexuelle. Enfin, la loi du 30 décembre 2004 pénalise les propos liés au sexe ou à l'orientation sexuelle de la personne.

En cas de discrimination, les sanctions encourues peuvent atteindre trois ans d'emprisonnement et 45 000 euros d'amende. Les peines maximales pour injures homophobes sont de six mois de prison et 22 500 euros d'amende. Le député UMP du Nord Christian Vanneste a par exemple été condamné en appel en 2007 à 9 000 euros d'amende et de dommages et intérêts pour avoir tenu des propos homophobes dans des journaux. Sept des quatorze meurtres de personnes homosexuelles depuis 2002 ont fait l'objet d'un procès. Cinq ont abouti à des peines allant de douze à vingt ans de réclusion criminelle.

En 2004, l'Etat a créé la Halde, dont l'objectif est de lutter contre tous les types de discrimination. Cet organisme peut se saisir lui-même afin d'enquêter sur des actes supposés illégaux. Sur 4 056 réclamations enregistrées par la Haute autorité en 2006, 1,5 % concernaient l'orientation sexuelle (la majorité, 35 %, se rapportait à l'origine ethnique). L'un des cas emblématiques qui lui a été soumis récemment est celui de Frédéric Minvielle. Ce Français a été décu de sa nationalité en mai 2008 parce qu'il a épousé aux Pays-Bas, légalement, en 2003 un Néerlandais. Comme l'Etat français ne reconnaît pas le mariage gay, il ne pouvait garder sa nationalité française. Son cas est actuellement réexaminé. Il pourrait retrouver son passeport français en 2009.

La lesbophobie : les discriminations faites aux lesbiennes

L'association SOS Homophobie s'est intéréssée en 2007 à un phénomène encore peu étudié : la lesbophobie. Ce terme traduit les disriminations envers les lesbiennes. Au cours de son enquête, SOS Homophobie a recueilli 1 793 témoignagnes. 57 % des lesbiennes ayant répondu indiquent en avoir été victime. Parmi elles, 45 % ont été agressées verbalement ou physiquement dans leur vie quotidienne (dans la rue,dans un lieu public, dans les transports ou en sortant de discothèque). 44 % ont été agressées dans leur famille, 24 % dans leurs relations amicales, 24 % au travail et 18 % dans leur voisinage. Le lesbophobie reste un sujet relativement tabou.

Carte de l’homophobie.

(En violet les pays où l’homosexualité est passible de la loi. En bleu les pays où l’homosexualité est tolérée. En clair, les pays où l’homosexualité est dépénalisée)

Homophobie silencieuse en Bosnie


Les autorités de Bosnie-Herzégovine aurait du assurer la sécurité des participants au premier « Queer Festival » de Sarajevo, a déclaré Amnesty International après l’agression de plusieurs personnes à la fin de la première journée de ce festival. Elles doivent aussi mener sans délai une enquête exhaustive sur ces agressions, et en traduire les responsables en justice.

Huit personnes, dont des policiers, auraient été blessées lors de l’attaque lancée par plusieurs dizaines de jeunes hommes contre les visiteurs du festival artistique et culturel, qui a ouvert ses portes le 24 septembre à l’École des beaux-arts, au cœur de la capitale, Sarajevo.

Selon l’organisation non gouvernementale de lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres Udruženje Q, organisatrice de ce festival qui etait prévu normalement jusqu’au 28 septembre, la police aurai mis les participants en danger en laissant les manifestants homophobes s’approcher trop près du lieu du festival.

Les organisateurs du festival et leurs sympathisants, dont des journalistes, ont reçu et continuent de recevoir des menaces de mort. Des affiches homophobes sont distribuées très largement et placardées dans des lieux bien en vue. Certains médias ont utilisé un langage homophobe et ont tenu des propos mensongers sur les objectifs du festival.

Au début du mois de septembre, dans une lettre adressée au Premier ministre de Bosnie-Herzégovine Nikola Špiric, Amnesty International avait exprimé sa préoccupation à propos du climat d’intimidation qui se développait dans le pays à l’encontre des lesbiennes, des gays et des personnes bisexuelles et transgenres ; elle l’avait appelé à assurer la protection des droits de ces personnes.

À ce jour, l’organisation n’a toujours pas reçu de réponse à son courrier. L’insuffisance manifeste des mesures prises par les autorités pour empêcher les actes d’intimidation et de violence pendant le festival montre que ses recommandations n’ont pas été entendues.

Amnesty International appelle les dirigeants politiques au plus haut niveau à condamner publiquement la discrimination liée à l’orientation sexuelle avérée ou présumée des personnes, et à faire clairement savoir qu’aucun acte de discrimination ou de violence ne saurait être toléré, quelle qu’en soit la victime.

« Les gays et les lesbiennes ont les mêmes droits que tout le monde en Bosnie-Herzégovine, et les autorités ont l’obligation de garantir leurs droits à la liberté de réunion et à la liberté d’expression ».

Ce qui rend les enfants homophobes


"Pédé !" est une insulte courante dans les cours d'école. Dès le primaire, sans trop savoir de quoi il retourne, les garçons s'en emparent. Plus tard, au collège et au lycée, l'injure est proférée en connaissance de cause.

"Dans notre rôle d'éducateur, la lutte contre l'homophobie est à mon sens un enjeu essentiel", a estimé le ministre de l'éducation nationale, Xavier Darcos, dans un entretien accordé au magazine gay Têtu. Pour la première fois dans la circulaire de rentrée, celle-ci figure comme l'une des dix grandes orientations prioritaires assignées aux recteurs.

vendredi 26 septembre 2008

turkish delight



Qu'est ce que c'est ! ! !

face

pile

Moi ...


SERIEUX

STADE FRANCAIS

ENCORE DES CRIMES HOMOPHOBES



IRAK :

L'un des plus importants maillons du réseau de soutien aux homosexuels d'Irak a été sauvagement tué par balle, cette semaine, dans le centre de Bagdad. Bachar, membre de l'association d'irakiens en exil Iraqi LGBT. Il a été tué par quatre hommes, alors qu'il se trouvait dans une échoppe de barbier. «Nous venons d'avoir la confirmation de la mort de mon ami, admet Ali Hili, responsable de l'association à Londres. Nous allons organiser deux cérémonies en son honneur, ici et à Bagdad. Sa mort est un coup très dur porté au réseau.»

Selon Ali Hili, Bachar aurait été identifié par les milices, suite à un article paru dans un magazine gay australien, dans lequel l'homme était facilement reconnaissable. «Le journaliste avait promis de l'emmener en Australie et Bachar l'avait cru», note amèrement Ali Hili, qui pointe également la responsabilité des autorités irakiennes. «Comment est-il possible que quatre hommes, armés jusqu'au dents, passent tous les barrages de la capitale irakienne sans la complicité de la police?»

Selon nos informations, l'association continue toutefois de protéger 47 homosexuels, transsexuels ou séropositifs âgés de 14 à 28 ans et répartis dans trois maisons, dont la location est toujours tenue secrète. Des fonds venus de l'étranger ont permis aux homosexuels de s'organiser à nouveau, après un grave passage à vide fin 2007 et début 2008.

Ali Hili a estimé à plus de 400 le nombre de personnes assassinées depuis le début de l'invasion américaine en 2003, en raison de leur identité sexuelle ou de leur statut sérologique.



Nantes: huit mois avec sursis pour une agression homophobe

Deux jeunes hommes ont été condamnés jeudi 25 septembre par le tribunal correctionnel de Nantes à huit mois de prison avec sursis et à verser à leur victime la somme de 4.000 euros au titre des dommages et intérêts. Le 2 février dernier, à la suite d'un pari, les deux compères entendaient aller «draguer un homosexuel pour plaisanter» dans le square Élisa-Mercœur, haut lieu de drague nocturne en plein centre ville. Abordé «pour un plan à plusieurs», la victime, le pantalon baissé, va se voir asséner un coup de poing au visage puis sera rouée de coups de pied une fois au sol. Contrairement à la demande des avocats, le caractère homophobe de l'agression a été retenu.

mardi 16 septembre 2008

lundi 1 septembre 2008

samedi 12 janvier 2008

acte de barbarie

Quatre hommes âgés de 20 à 26 ans ont été arrêtés pour des "actes de torture et de barbarie" à connotation homophobe, ayant visé un homme de 28 ans resté cinq semaines dans le coma.

La victime est abordée par les suspects à la sortie d'un café branché du Ier arrondissement de Paris et mise en confiance par ceux-ci. Ces derniers l'auraient ensuite emmené dans un parc de Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne) afin "de le dévaliser", selon leurs explications au service départemental de la police judiciaire (SDPJ) de ce département saisi de l'enquête. Toujours selon cette source, voyant que la victime n'avait aucun argent sur lui, ils l'ont violemment frappé et brûlé ajoutant que "le fait que la victime était homosexuelle" a "décuplé les coups et les sévices". Le jeune homme est sorti de l'hôpital "avec des séquelles".

Trois des suspects ont été arrêtés dans une cité sensible du Val-de-Marne : l'arrestation suivie de leur mise en examen et de leur incarcération s'inscrivait dans le cadre d'une information judiciaire pour "tentative d'homicide volontaire, enlèvement, séquestration, accompagnés d'actes de torture et de barbarie". Un quatrième homme s'est livré à la PJ et a été placé en garde à vue avant sa mise en examen et son incarcération.